Participation – La boîte à encas – Enfin une solution de restauration sur le pouce à destination des petites entreprises.

Site Web : La boîte à encas

1 – Quel problème essayez-vous de résoudre?
Alors que les grandes entreprises ont de nombreuses options pour satisfaire leurs employés lors de leurs pauses sucrées ou pauses-déjeuner (distributeurs automatiques, cafétérias, cantines, etc.), les petites entreprises n’ont pas accès à ce type de solutions pour des raisons de rentabilité. Leurs employés n’ont donc pas de solution pour se sustenter rapidement et simplement et sont donc condamnés à se débrouiller par eux-même en apportant leurs propres produits, en se rendant dans un commerce pas toujours à proximité voire en sautant un repas s’ils manquent de temps.

2 – En quoi consiste votre solution ?
Nous proposons donc de déposer en vente libre dans les petites entreprises (entre 10 et 40 personnes sur le même lieu de travail), des produits permettant de satisfaire leurs besoins lors de leurs pauses sucrées (barres céréalières, chocolat, compotes à boire, etc.) et lors de leurs déjeuners sur le pouce (soupes, nouilles chinoises, plats préparés, etc.). Ces produits sont disposés dans une boîte en bois, placée par exemple dans la salle de pause ou dans l’open-space et seules les consommations doivent être règlées (une tirelire est intégrée à la boîte). Le système est confortable pour nos clients puisqu’il est sans obligation d’achat et sans mise d’entrée.

3 – A combien estimez-vous la taille de votre marché ?
Selon l’INSEE, le nombre d’entreprises dont l’effectif est compris entre 10 et 49, hors hôtellerie restauration et hors bâtiment en Ile de France est de 33 303. L’expérience acquise avec nos 35 premiers clients depuis septembre 2013 nous permet de viser un chiffre d’affaires mensuel de 140 euros pour chacune de ces entreprises, soit un chiffre d’affaires annuel potentiel supérieur à 55 millions d’euros pour notre cœur de cible.

4 – Quels sont vos concurrents ?
Nos concurrents principaux sont les gestionnaires de parcs de distribution automatique dont la fonction est de déposer des machines dans les lieux publics et les entreprises et d’en assurer le support technique. Pour des raisons de rentabilité, ils s’intéressent peu au segment des petites entreprises.

5 – En quoi vous différenciez-vous de vos concurrents ?
Nous nous différencions de nos concurrents à deux niveaux : – nous choisissons de faire confiance à nos clients puisque nous ne contrôlons pas leurs paiements (à la différence du contrôle mécanique exercé par un distributeur automatique par exemple). Ce choix, dont nous avons validé la pertinence sur notre parc actuel de client, nous donne un avantage comparatif décisif sur notre structure de coûts puisque nous n’avons plus à assumer l’amortissement de machines et nous permet donc d’être rentable sur le segment des entreprises de moins de 50 personnes. – d’autre part, nous mettons en place une image décalée autour de l’univers politique afin d’augmenter la fidélisation client.

6 – Quel modèle économique ?
La boîte à encas propose la mise à disposition gratuite du service puisque la boîte contenant les produits est laissée en dépôt gratuit dans les entreprises. Nous nous rémunérons sur la vente des encas proposés dans la boîte et achetés par les salariés de nos entreprises clientes. Le prix de vente fixé nous assure une marge brute de 67% – l’enjeu pour nous aujourd’hui est donc de densifier notre parc d’entreprise cliente afin d’obtenir des économies d’échelle sur les approvisionnements et afin de massifier nos tournées logistiques.

7 – Présentation de l’équipe
L’équipe se compose de deux profils complémentaires : Michaël Ormancey (lien Linkedin : fr.linkedin.com/pub/michael-ormancey/50/105/48b), ingénieur UTC et de Romain Wisniewski (lien Linkedin : fr.linkedin.com/in/romainwisniewski/), diplômé HEC. Michaël est responsable des aspects commerciaux et financiers tandis que Romain est en charge de la logistique, des achats et de la communication.

8 – Quels sont vos besoins actuels ?
Nos besoins actuels sont de deux ordres : – besoins logistiques : encore littéralement situés « dans un garage », l’évolution de notre activité rend nécessaire notre installation dans un espace de plus grande taille (essentiellement pour assurer le stockage), or équiper un tel espace coûte plusieurs milliers d’euros. – besoins de visibilité : nous nous sommes uniquement développés en démarchage direct jusqu’à aujourd’hui. Afin d’accroître notre vitesse d’expansion et afin de crédibiliser notre entreprise face à nos prospects, il devient nécessaire d’appuyer cet effort commercial d’un effort de communication.