Participation – GOKU – Goku vous offre la puissance logistique d’Amazon, en plus simple et sans volumes minimums.

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Participation – GOKU – Goku vous offre la puissance logistique d’Amazon, en plus simple et sans volumes minimums.

Site Web : http://www.goku.fr

1 – Quel problème essayez-vous de résoudre?
Nous répondons à la complexité logistique du premier kilomètre dans le e-commerce.

Un e-commerçant a aujourd’hui 2 choix pour sa logistique : la gérer lui-même en interne (chronophage, non scalable) ou externaliser cette activité chez un logisticien professionnel (difficile d’accès, complexe, coûteux).

Les e-commerçants démarrent généralement par la première option et recherchent un logisticien lorsqu’ils sont débordés par les volumes. Le passage à un logisticien coûte cher et est compliqué. Le secteur de la logistique est extrêmement fragmenté, avec des offres, des grilles de prix et des process très différents d’un logisticien à l’autre.

Goku offre une troisième voie en simplifiant la logistique et en la rendant accessible à tous.

2 – En quoi consiste votre solution ?
Goku crée la logistique en « plug & play », pour donner à n’importe quel e-commerçant la puissance logistique d’Amazon sans aucune contrainte de volume, aucune formalité, aucun frais fixes.

Goku est une plateforme technologique qui connecte coursiers, logisticiens et transporteurs pour permettre aux e-commerçants d’automatiser et d’externaliser leur logistique en 3 clics quand ils le souhaitent et sans contrainte.

Lorsqu’il réalise une vente, le e-commerçant commande une collecte sur Goku.fr (ou via notre API) pour qu’un coursier vienne chercher ses produits.

Ils sont ensuite pesés, mesurés, emballés et étiquetés dans un centre logistique sélectionné par Goku avant d’être expédiés n’importe où dans le monde (avec UPS, Colissimo, Chronopost, etc.).

3 – A combien estimez-vous la taille de votre marché ?
Aujourd’hui Goku s’adresse à des sociétés qui expédient jusqu’à 60 colis par jour, soit 15.000 colis par an. Sachant que le panier moyen d’achat est de 80€, nous parlons de sites réalisant jusqu’à 1,1M€ de chiffres d’affaires par an.

En 2014, la FEVAD recensait 157.300 sites marchands actifs en France (14% de plus qu’en 2013). Parmi eux, 97% réalisent moins de 1M€ de chiffres d’affaires annuel, et sont donc dans la cible de Goku.

Ces 152.000 sites français à moins de 1M€ de CA annuel expédient près de 300 millions de colis chaque année.

Le marché adressable par Goku en France sur le e-commerce est donc d’environ 3Mds€.

4 – Quels sont vos concurrents ?
Les concurrents directs de Goku sont aujourd’hui tous basés aux Etats-Unis : Shyp, Shipbob et Shipster.

De ces 3 startups lancées en 2014, seul Shyp a levé des fonds (10m$ à l’été 2014). L’Europe ne compte encore aucun concurrent direct.

Quelques alternatives existent : Goku connecte des coursiers, des logisticiens et des transporteurs pour agréger les compétences de ces 3 types d’acteurs en un service complet et automatisé. Chacun de ces acteurs est donc une alternative potentielle mais incomplète à Goku.

Les transporteurs sont aujourd’hui l’alternative principale des petits sites marchands (qui gèrent eux-mêmes leur logistique) alors que les plus gros e-commerçants (CA supérieur à 1M€) peuvent s’adresser aux logisticiens.

5 – En quoi vous différenciez-vous de vos concurrents ?
Le modèle de Goku fait levier sur les compétences cœurs d’acteurs déjà en place afin de créer un service clé-en-main, flexible et scalable.

Goku repose sur 3 éléments clés :
1) une plateforme technologique qui intègre et automatise les services de chaque partenaire (coursier, logisticien, transporteur),
2) des algorithmes qui permettent d’optimiser chaque étape sur la plateforme,
3) une interface simplifiée pour les clients.

Pour chaque commande, Goku va sélectionner automatiquement le coursier le plus proche, choisir le logisticien adapté, l’option d’envoi et le transporteur le plus pertinent pour chaque colis, tout en optimisant le coût global de l’opération.

Les informations sont ensuite disponibles sur l’interface client.

6 – Quel modèle économique ?
Goku est basé sur un modèle d’agrégation de volumes : nous payons des frais de port négociés avec les transporteurs (-25% à -85% de discount grâce aux volumes accumulés) que nous facturons au prix public à nos clients. Nous nous rémunérons sur la différence entre les deux.

Nous facturons également un frais de collecte des produits qui sert à rémunérer le coursier et sur lequel nous prélevons une commission.

Lancé en septembre 2014, Goku génère du chiffre d’affaires depuis novembre 2014. Nos volumes d’expédition ont une croissance de +200% chaque mois et nos nouveaux clients ont des volumes quotidiens de plus en plus élevés (300-1000 colis/mois chacun).

7 – Présentation de l’équipe
Adrien, HEC Paris, a débuté chez Rocket Internet en Egypte où il a créé les process logistiques du site marchand Jumia. Il a ensuite suivi une formation de programmateur dans la Silicon Valley. Il gère le développement technique et les opérations chez Goku.

Stanislas, ESSEC, a débuté sa carrière en conseil en fusions-acquisitions au sein de la banque d’affaires UBS à Londres pendant 2 ans. Il gère les partenariats, le commercial et le marketing chez Goku.

Mickaël et Etienne ont développé le site et la plateforme des coursiers, avant de finir leur stage en décembre. Pierre et Fabrice ont rejoint l’équipe en Janvier pour développer les pôles logistique et communication.

8 – Quels sont vos besoins actuels ?
Nous avons développé un modèle flexible et scalable à l’international. Pour pouvoir le déployer rapidement et efficacement, nous devons investir dans le développement technique de la plateforme : développement d’API, de modules pour plateformes tierces, d’algorithmes d’optimisation et amélioration de l’interface client.

Les prochaines étapes sont i) l’arrivée d’un CTO expérimenté (process en cours), ii) la construction d’une grosse équipe technique, iii) le développement d’un pôle commercial (acquisition et service client), iv) le développement de la stratégie de communication.

Nous souhaitons lever 800.000 euros pour financer ces recrutements et l’ouverture du service dans de nouvelles villes, notamment à l’international.

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