Participation de la société Projet Arcadie – Le lobbying est partout : Projet Arcadie le met à la portée de tous

Participation de la société Projet Arcadie – Le lobbying est partout : Projet Arcadie le met à la portée de tous

Projet arcadie

Site Web : http://projetarcadie.com/

1 – Quel problème essayez-vous de résoudre ?

Il n’y a pas un seul secteur de l’économie qui ne soit concerné par les changements politiques mais suivre au plus près les évolutions des acteurs de la politique est un travail à temps complet. Pour ceux qui souhaitent faire cette veille, ils doivent embaucher une personne dédiée ou faire appel à un cabinet d’affaires publiques.

Le Projet Arcadie souhaite ouvrir les portes, à un plus grand nombre d’acteurs, de la vie parlementaire.

 

2 – En quoi consiste votre solution ?

Le Projet Arcadie est un service Web de micro-lobbying qui permet à chaque abonné de filtrer les parlementaires susceptibles d’être des interlocuteurs pertinents, par centres d’intérêts, par profession, par secteur géographique ou par parti politique.

Les données présentes sur chacune des fiches des parlementaires – députés et sénateurs – sont mises à jour et vérifiées en temps réel grâce à un système de crawlers. Les informations sont ensuite vérifiées et intégrées sur la plateforme.

Les abonnés ont donc l’assurance d’avoir une information fiable, à jour et neutre.

 

3 – A combien estimez-vous la taille de votre marché ?

Bien qu’il s’agisse d’un marché de niche, la niche est estimée à environ 100 000 entités.

En dehors des clients « évidents » tels que les médias et les groupements politiques, on peut inclure les instituts de sondages, les études statistiques, les communes, les communautés de communes, les fédérations professionnelles, les chambres d’agricultures, les chambres de métiers.

 

4 – Quels sont vos concurrents ?

A proprement parler, il n’y a pas de concurrence car il s’agit d’un nouveau marché.

Néanmoins, les concurrents indirects sont les cabinets de lobbying ou d’affaires publiques, les annuaires de coordonnées d’élus, les plateformes gratuites de scrapping de données.

 

5 – En quoi vous différenciez-vous de vos concurrents ?

Lorsque l’on fait appel à un cabinet de lobbying, le client n’a pas la maîtrise du contact avec le parlementaire, contrairement au Projet Arcadie, qui donne toute l’autonomie nécessaire au client final, pour un coût largement moindre.

Les annuaires de coordonnées ne sont pas mis à jour et sont de simples feuilles de calculs, n’incluant pas les liens vers les réseaux sociaux des élus.

Les plateformes de scrapping ne vérifient pas les données collectées, ne sont pas neutres et n’incluent pas les informations relatives aux partis politiques des élus, ni les résultats d’élection, etc.

 

6 – Quel est votre modèle économique ?

Les clients potentiels ont le choix entre trois offres d’abonnements : mensuel, biannuel et annuel. Ils peuvent souscrire en ligne et un minimum d’informations lors de l’inscription est demandé afin de leur permettre de garder une certaine part d’anonymat.

S’ils le souhaitent, ils peuvent également régler les abonnements par chèque.

Enfin, il peut arriver qu’il y ait des demandes complémentaires comme de la veille juridique, ce qui est tranché au cas par cas.

 

7 – Présentation de l’équipe

Je suis la seule personne qui gère le Projet Arcadie. Pendant des études de droit public, j’ai passé pas mal de temps à bricoler les ordinateurs et à apprendre l’informatique. Ce double bagage m’a permis de travailler dans une institution publique puis de devenir collaboratrice parlementaire et c’est lors de mon passage à l’Assemblée Nationale que j’ai eu l’idée de ce service.

 

8 – Quels sont vos besoins actuels ?

Techniquement, le seul réel besoin qui subsiste est la mise en place d’une fonction d’annotation des fiches pour permettre aux clients de prendre des notes façon « Post-It ».

Sur le plan juridique, le Projet Arcadie est tutoré par le cabinet EGYP.

C’est sur le plan marketing et la communication que le Projet Arcadie doit tirer son épingle du jeu, que ce soit de façon traditionnelle (notamment via la presse) mais également sur le Web avec une stratégie SEO agressive.

 

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