Participation de la société Didooda

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Participation de la société Didooda

Site Web : http://www.didoodaproject.com

Quel problème essayez-vous de résoudre?
Vous jouez du piano, j’écris des paroles, elle chante.
Oui mais, où êtes-vous ? Où est-elle ?
Pour des musiciens géograhiquement dispersés, nous voulons rendre la rencontre possible.
Et que de cette rencontre naîsse une oeuvre musicale que tout le monde pourra écouter, et acheter.

Quelle est votre solution?
Proposer un réseau social dont le vecteur est la musique.

1- Des services métiers orienté production :
La plateforme permet l’échange de pistes musicales qui une fois agrégées donnent un morceau de musique.
Le pianiste envoie la mélodie à la chanteuse. Elle s’enregistre et plaque sa voix sur le piano avec mes paroles.
Un morceau peut ainsi naître, d’un pianiste à New-York, d’un parolier à Paris, et d’une voix à Rio.

2- Des services business orientés diffusion :
Une fois le morceau abouti, la plateforme sert de vitrine pour les auditeurs qui peuvent l’écouter et l’acheter (C2C).
Les morceaux créés peuvent également donner naissance à des licences de jeux vidéo ou de films publicitaires (B2B).

Tout cela est très concret.

Quels sont vos concurrents?
Sur ce secteur novateur -musique collaboritive-, les concurrents sont à ce jour peu nombreux. Nous pouvons citer :
– Kompoz.com
– MixMatchMucic.com

Quelles différences par rapport aux autres solutions?
La concurrence n’intègre pas de façon complètement aboutie ce qui fait la clé du succès de réseaux sociaux. Il manque notamment tous les métiers connexes à la musique.
– Vous êtes graphiste ? Dessinez-moi la pochette de mon futur album, ou un visuel pour mettre en avant ma dernière composition.
– Vous êtes vidéaste ? Tournez un clip en accord avec ce que nous avons composé.
– Vous avez une fibre de vendeur ? Sélectionnez les meilleurs morceaux de notre catalogue et vendez les comme compilation sur notre plateforme.
– Vous voulez vous faire connaîre ? Utilisez nos outils d’e-mailing ciblés pour diffuser votre talent.

La différence est une vision globale sur l’ensemble des maillons de la chaîne de l’industrie musicale. Et nous envisageons d’ores et déjà des concerts virtuels… A suivre !

Quel modèle économique?

Un revenu généré de façon multiple :
– La publicité : didooda prévoit l’affichage de 3 zones dédiées à de la publicité dans toutes ses pages. Les membres du réseau seront profilés avec précision pour garantir la diffusion de messages publicitaires très ciblés.
– L’insertion d’un morceau dans la vitrine : didooda chargera mensuellement les membres qui mettent des morceaux en vente, comme s’il s’agissait d’une petite annonce « à la eBay »
– L’échange des pistes audio entre les membres : les volumes de données qui transitent entre les membres lorsqu’ils créent un morceau sont énormes, un envoi par mail est simplement impossible. didooda, pour ce service, charger les utilisateurs en fonction du volume de données échangé.
– Les programmes d’affiliation : avec un public très ciblé, didooda sera présent sur le front de l’affiliation (renvoi d’acheteurs potentiels sur la fnac ou sur les opérateurs de téléphonie mobile par exemple).
– La vente des morceaux de musique : les compositeurs fixeront le prix de leurs morceaux, ils pourront ainsi adapter le prix à la demande. Mais ce n’est pas une rentrée : 100% des revenus issus des téléchargents sera reversé aux auteurs. De quoi les faire venir, non ?

Présentation de l’équipe
Une équipe évidemment restreinte au début. Flexibilité avant tout.
– Fondateur :
Je m’appelle Jean Deswarte. J’ai longtemps dirigé des projets informatiques d’envergure.
Dans les années 90, j’ai été l’un pionnier de la naissance des CD-Rom et a supervisé de nombreux projets d’encyclopédies électroniques.
Dans les années 2000, je me suis vu confier la refonte complète d’un système de réservation dans le domaine du tourisme. Le site marchand, ultime maillon du système, a réalisé un chiffre d’affaire de 18 millions d’euros dès sa première année
Formation ? Physicien. Comme quoi…
– Graphisme
Charni l’Agence a été choisi. Pour ses références avec la cité de la Science, également parce son fondateur a dessiné le logo du groupe d’AC/DC… Nous parlons de musiqe n’est-ce pas ?
– Développement
Excellency a été choisi. Pour leur pragmatisme étonnant et la pertinence des réponses à toutes les questions posées lors de l’appel d’offre que j’ai effectué.
– Communication
Permis de Bouger. Pour la personnalité de son fondateur, il y a parfois des gens avec qui l’on a instinctivement envie de travailler. Comme deux musiciens.
– Et la musique dans tout ça ?
Bonne question. Au fait, Pierre Omidyar -fondateur d’eBay- était-il brocanteur ?

Quels sont vos besoins actuels ?
Au jour d’aujourd’hui, je finance à 100% cette entreprise.
Je suis tout à fait conscient qu’il existe un problème de masse critique à atteindre afin que le concept trouve tout son essor et se transforme en succès.
Une des clés reposera sur la capacité de didooda à se faire connaître, notamment à l’étranger. Un coût que didooda ne pourra financer à 100%. Intéressé ?

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