Participation – B.Sensory – Ebooks érotiques connectés. Lisez, vibrez… pour de vrai !

Site Web : http://www.b-sensory.com

1 – Quel problème essayez-vous de résoudre?
E.Sensory intervient sur le marché prometteur des objets connectés « haptiques ». La première thématique explorée porte sur la lecture numérique sensorielle. L’idée est de procurer aux lecteurs, via différents supports connectés, de véritables sensations physiques (vibrations, caresses, chaleur) déclenchées automatiquement en fonction de ce qu’ils lisent, regardent, écoutent, touchent…

La 1ère marque développée, B.Sensory, est dédiée à la lecture de contenus « coquins ». L’idée est de conjuguer le pouvoir érotique des mots au potentiel des objets connectés. Un concept simple – Lisez, vibrez – et une double ambition :
– proposer le premier service de lecture érotique numérique sensorielle,
– développer la première gamme de sextoys made in France pilotés par smartphone.

2 – En quoi consiste votre solution ?
B.Sensory est la première application de lecture d’ouvrages érotiques connectée à une gamme de sextoys made in France. Le concept est simple : lisez, vibrez.

Le service comprend :
– une application de lecture et de jeux (fonctions télécommande partageables à distance)
– un site e-commerce (ebooks, sextoys et produits complémentaires)
– un back-office permettant le téléchargement, la création, la transformation de textes « standard » en textes « vibrants ».

3 – A combien estimez-vous la taille de votre marché ?
Pour la France, sur les critères femmes, 25-55 ans, CSP+, équipées smartphone/tablette le marché potentiel est estimé à 15M de personnes. B.Sensory s’est fixé comme objectif d’avoir 150 000 lecteurs/lectrices d’ici 3 ans.

4 – Quels sont vos concurrents ?
Aucune autre offre ne conjugue littérature numérique érotique (ebooks) et sextoy.

Nous n’avons pas non plus repéré de marque Française produisant des sextoys pilotés par smartphone/tablette.

L’offre la plus proche de B.Sensory est celle de Vibease, avec des contenus audio synchronisés à un sextoy « externe ». Mais pour l’instant les contenus ne sont pas disponibles en français.

Les autres modèles de sextoys connectés repérés sont le WeVibe 4 & le Blue Motion de OhMiBod, mais ce sont des sextoys « externes » sans lien avec des contenus. Dernière référence disponible, le Smart Mini Vibe (oeuf vibrant) mais qui ne fonctionne pas dans les conditions prévues d’utilisation (perte de la connexion).

5 – En quoi vous différenciez-vous de vos concurrents ?
L’originalité du concept porte sur la connexion des mots et des vibrations avec des contenus apportés par des éditeurs de référence tels que La Musardine, J’ai Lu, Livrior…

B.Sensory propose aux utilisatrices un nouveau plaisir de lire et jouer avec les mots en solo ou en duo en invitant son partenaire. C’est une offre qui répond à la cérébralité du plaisir féminin mais aussi aux nouveaux usages amoureux liés aux smartphones (sextos, envois de photos coquines, relations longues distances…).

6 – Quel modèle économique ?
B.Sensory peut séduire par le biais de la littérature érotique grâce à une sélection de textes de qualité, par l’expérience de lecture « sensorielle » proposée, ainsi que par l’attractivité des jeux à deux.

Le modèle économique B.Sensory repose sur la vente :
– des contenus (revenus récurrents)
– des sextoys
– de licences d’exploitation.

7 – Présentation de l’équipe
Christel Le Coq – Créatrice & CEO
Domaines d’expertise : communication, marketing, design de services, usages mobiles.

Nicolas Bravin – DG
Domaines d’expertise : Business development, Project management, Systèmes embarqués.

Katell Le Scanff – Dircom
Domaines d’expertise : Stratégie médias et réseaux sociaux, SMO, SEO.

Olivier Keraval – Directeur éditorial
Domaines d’expertise : Edition, diffusion, distribution

8 – Quels sont vos besoins actuels ?
Ajourd’hui la société existe, une première levée de fonds en love money a été réalisée (100k), les contrats avec les éditeurs sont signés et le prototype est prêt.

Pour continuer à avancer, B.Sensory lancera sa campagne de crowdfunding le 8 mars. Les fonds serviront notamment financer la fabrication de la 1ère série de sextoys.

Une étape importante pour laquelle nous avons besoin d’un maximum de visibilité et de soutient.

De la réussite de cette campagne dépend une 2e augmentation de capital dédiée notamment à l’embauche d’une équipe plus importante pour préparer la commercialisation de l’offre, terminer les développements plateforme/appli (3 postes prévus) et amorcer l’internationalisation du service.