3 questions à Jean Rognetta

3 questions à Jean Rognetta

3 questions à Jean Rognetta

Bonjour Jean, pourrais-tu te présenter en quelques lignes ?
Je m’appelle Jean Rognetta, je suis journaliste et je me suis spécialisé en financement de l’innovation: valorisation de la recherche, capital-risque, etc. J’écris régulièrement sur Les Echos (depuis 2000) et depuis 2002 surtout sur Capital Finance, la lettre des Echos sur le private equity. J’anime aussi, souvent, et je co-organise parfois des conférences, comme Tepa Capital au Sénat le 21 janvier prochain, sur le financement des PME via l’ISF.
J’ai fait mes premières armes de journaliste au groupe Tests à la fin des années 90, sur des sujets comme le multimédia, Internet, les télécoms… puis j’ai collaboré au lancement de Silicon.com en France et lancé une newsletter sur la régulation des technologies, Cyberpouvoirs. Mais j’ai déjà 43 ans, et mon premier contact avec Internet (sans le savoir), c’était un téléchargement FTP en… 1991. Brr, ça fait loin…

Que penses-tu pouvoir apporter aux startups sélectionnées ?
Un point de vue à l’intersection de la finance et des technologies, high-tech, biotech, cleantech, et le regard un peu distancié que l’on acquiert à force de fréquenter des start-up issues de tous les domaines de l’innovation, ainsi que celles et ceux qui les financent, un peu partout dans le monde.

Si tu devais donner 3 conseils aux startups françaises, quels seraient-ils ?
En ce moment ?
1. Le cash,
2. le cash,
3. le cash.
Malgré le battage médiatique, je rencontre trop souvent encore encore des créateurs d’entreprises et des patrons de start-up qui n’ont pas pris toute la mesure de la crise. Il faut réapprendre à survivre avec des ressources incertaines et limitées. Comme dit Eric Harlé, grand navigateur d’entreprises technologiques: « Ton cash est plus important que ta mère ».

Restez branché sur la Startup Academy en vous abonnant directement par email

Pas de commentaires encore

Poster un commentaire