3 questions à Cédric Giorgi

3 questions à Cédric Giorgi

3 questions à Cédric Giorgi

Bonjour Cédric, pourrais-tu te présenter en quelques lignes ?
Je m’appelle Cédric Giorgi et je vais sur mes 25 ans. Toulousain « immigré » sur Paris, je m’occupe du marketing et de la communication chez Goojet, start-up développant un nouveau service pour faciliter l’usage de l’internet mobile. J’ai rejoint les deux co-fondateurs début 2007 après avoir participé au lancement de Vente-du-diable.com. Je suis par ailleurs blogueur depuis plus de 3 ans sur www.cedricgiorgi.com, ai co-organisé différents évènements liés au web à Toulouse et je donne des cours en écoles sur les nouvelles tendances du web et du marketing. Côté parcours universitaire, j’ai une double formation ecole d’ingénieur + ecole de Commerce avec 2 ans passés en Allemagne.

Que penses-tu pouvoir apporter aux startups sélectionnées ?
Sans être expert, j’espère pouvoir apporter quelques compétences dans ces trois domaines différents :
– la communication, et principalement auprès des « influencueurs » qui importent pour une start-up à savoir les investisseurs, les journalistes, les analystes, les gens du métier et bien sûr les blogueurs.
– une vision et un réseau international : de part mes déplacements réguliers à l’étranger, mes contacts, mais aussi mes lectures je peux aider à voir plus loin que nos frontières, ce que je ne vois pas comme une possibilité, mais une obligation pour une startup.
– comprendre le média mobile : la majorité des startups se concentrent sur le web, mais il est primordial de considérer le media mobile à part entière dès le début d’un projet sur le web.

Si tu devais donner 3 conseils aux startups françaises, quels seraient-ils ?
3 conseils qui tiennent plus au « savoir être » de l’équipe fondatrice :
– Prendre extrêmement soin des premiers clients ou utilisateurs : il faut les choyer comme le bien le plus précieux car ce sont eux qui pourrront parler de vous tout autour d’eux et c’est surtout grâce à eux que vous allez pouvoir en apprendre beaucoup sur votre produit.
– Savoir se remettre en question : tout se passe tellement vite sur le web qu’il faut savoir se remettre en question en permanence, sans pour autant perdre de vue ses objectifs, ses ambitions, et surtout son rêve. Savoir être « opportuniste ».
– Aider et donner sans rien attendre en retour : le réseau, les contacts c’est ce qui ouvre les portes. Mais cela prend du temps, il faut donc commencer très tôt à bâtir des contacts solides et la meilleure approche pour cela est de rien attendre en retour, d’essayer d’aider autour de soi en permanence. Et le moment venu, quand vous aurez besoin de quelquechose, vous pourrez « activer » ce réseau.

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